¡BLACKOLERO!

Frank Black, Black Francis, Pixies, Breeders

29 juin 2009

Pixies à Paris en octobre : c'est confirmé

Notre Joe Chicago national vous l'a annoncé ici avant tout le monde, c'est désormais officiel : les Pixies joueront au Zénith de Paris le 15 octobre 2009, en clôture d'une tournée européenne dont vous retrouverez les dates dans notre rubrique "Black Francis on tour".

Comme nous l'indique un commentateur anonyme et néanmoins estimé, il s'agira d'un Doolittle Tour. À l'occasion des 20 ans de l'album au singe, les Pixies le joueront sur scène dans son intégralité, faces B comprises.

Tickets en vente à partir de vendredi 3 juillet.


Modifié le 30 juin.


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25 juin 2009

Un miracle pour Mark Mulcahy ?

Pitchfork nous apprend que Black Francis va participer à un album de soutien à Mark Mulcahy, ex-chanteur de Miracle Legion, un groupe qui a sa place dans la mythologie blackienne puisque c'est en son sein que Black est allé piocher deux futurs piliers de ses Catholics, le bassiste Dave "McDave" McCaffrey et le batteur Scott Boutier.

Le pauvre Mulcahy, nous explique-t-on, a perdu sa femme l'an dernier et se retrouve seul pour élever ses jumelles de trois ans. Pas question pour lui de continuer sa carrière solo s'il ne reçoit pas un peu d'aide. Cette aide arrive sous la forme de l'album Ciao My Shining Star: The Songs of Mark Mulcahy, qui paraîtra le 29 septembre chez Shout! Factory.

Outre Black Francis, on y retrouvera Vic Chesnutt, Dinosaur Junior, Thom Yorke, The National, Michael Stipe, Rocket From The Tombs ou encore Juliana Hatfield.

Quant à la chanson sur laquelle Frank a jeté son dévolu, il s'agit de Bill Jocko :




Merci à Mickey sur FrankBlack.net.

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Le NME fait monter la sauce (comme d'habitude)

Méfiez-vous des titres trop accrocheurs. Certains ex-fleurons de la presse musicale british ont pris la triste habitude de travailler comme les canards du type Détective ou France Dimanche : on trouve le titre le plus racoleur possible et on écrit l'article après.

Exemple avec la dernière news consacrée aux Pixies, avec de vrais extraits d'interview de Black Francis dedans (le pauvre, ils ne le lâchent plus), sur NME.com. Titre : "Les Pixies préparent un nouvel album hollywoodien". Wow. Un nouvel album des Pixies ! Nous pouvons enfin y croire ! Ce n'est pas comme si le NME n'avait pas déjà annoncé plusieurs fois cette nouvelle fracassante (vous vous rappelez quand il devait être produit par Tom Waits, le "nouvel album" ?)...

Mais quand on lit le texte, on découvre bien entendu que tout est au conditionnel comme d'habitude, et qu'il ne s'agit, une fois de plus, que de Black Francis lançant des hypothèses lors d'une discussion à bâtons rompus. "Ce qu'il faudrait, c'est que le groupe bosse avec un réalisateur", dit Frank. "Tarantino ou quelqu'un comme ça. Le type dirait 'Faites la musique de notre film, vous [les Pixies] ferez la bande-son du film.' Parlez de cette idée autour de vous, je crois que ça marchera."

Notre interprétation : interrogé pour la douze millième fois sur le "nouvel album des Pixies", Frank a botté en touche en sortant de son chapeau cette idée de réalisateur. "Puisque le groupe n'arrive pas à accoucher de nouvelles chansons, hé, pourquoi on ne nous demanderait pas de faire une B.O. de film ? Je suis sûr que ça marcherait." Il ne mentionne même pas en avoir discuté avec les autres membres du groupe, semblant au contraire vouloir les en informer par NME interposé. Bref, circulez, y a rien à voir.

Suivent les considérations habituelles sur le fait que la réunion ne veut pas dire grand-chose si elle se résume à une série de tournées où les Pixies ne jouent que leur ancien répertoire (ce qui a déjà été dit et a même amené Frank à annoncer en 2007 que la réunion était "finie"). Et une petite couche pour finir sur l'air de "Si on fait un nouvel album, il faudra que ce soit vraiment bon, on ne veut pas décevoir notre public." Bref, rien de neuf.

Tarantino, si tu nous lis...

* * *

Sous la news qui n'en est pas une, NME.com a quand même fait l'effort d'ajouter une interview vidéo des Pixies réalisée après la soirée de lancement de Minotaur et montée sur fond de Here Comes Your Man (quelle audace. Ou alors il avaient perdu leur MP3 de Where Is My Mind?...)

"En résumé, commence Black Francis, Minotaur est une présentation du travail de Vaughan Oliver qui a détourné nos cinq albums [Kim éclate de rire] pour en faire son propre manifeste."

"Ça avait vraiment l'air de faire plaisir à Vaughan" dit Kim. "Nous sommes passés à l'arrière-plan", dit Frank. Suivent des considérations sur la taille du coffret édition limitée et sur la prononciation du mot "Minotaur" en anglais.

Frank fait ensuite allusion à ses propres expériences dans le domaine des arts plastiques "mais je ne suis pas au niveau où je pourrais dire, 'Hé, Vaughan...'." Nouvel éclat de rire de Kim : "Tu devrais ! Rien que pour le choquer, tu devrais lui proposer de lui montrer tes tableaux !"

Puis Kim confie avoir été "très nerveuse" au moment de jouer à l'île de Wight (le concert avait lieu la veille de l'interview) car c'est un "festival très célèbre", mais qu'elle avait trouvé ça "bon". "Le son était parfait, la scène elle-même, c'était super" confirme Dave. Joey : "J'étais nerveux... comme toujours."

Enfin, Charles évoque la suite de la tournée avec le Hurricane Festival en Allemagne, où le groupe a joué le 20 juin (Kim : "C'est un gros festival, non ? Je crois que c'est un très gros festival. Des dizaines de milliers de personnes. [Elle se tourne vers le manager, hors-champ]: Richard ?...") et ajoute que d'autres dates sont prévues, mais pas encore officielles. Le mois de juillet étant consacré à une série de concerts de Black Francis et de Grand Duchy aux USA, on ne risque pas de revoir les Lutins sur scène avant août.


Un grand merci à Chaumax !



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"On se dirige vers un monde à 5 dollars"

Dans le prolongement du sujet qui précède, Black Francis a confié au NME ses réflexions sur l'avenir de la musique, lors d'une interview publiée le 20 mai.

"Le point de convergence entre le client et l'artiste a dérivé de la boutique de disques ou du site Internet vers le concert" dit Black Francis. "Le public se passionne pour les apparitions scéniques de l'artiste. Il paie pour y assister. C'est une très bonne chose pour la musique live. Mais de nos jours, tout le monde est en tournée, ce qui est excellent pour les roadies, les clubs et les salles... mais absolument tout le monde se bouscule sur les routes. Et tout ce monde-là est en concurrence." (Des propos déjà tenus dans notre interview de février 2008, NdB.)

"Je crois que tout le monde va devoir s'habituer à gagner moins d'argent et à pratiquer des prix plus bas. Il va falloir entrer dans l'ère du "tout à 5 dollars". Les gens diront "Oh oui, je paierai $5 pour voir ça, ou pour un T-shirt, ou pour un disque." Je crois qu'on se dirige vers un monde à 5 dollars, plutôt qu'à 25, 50 ou 150."

"Je me rends compte que je risque de passer pour un hypocrite aux yeux de certains, parce que les Pixies se préparent à sortir un coffret. Je crois que l'édition limitée coûte $450. Mais ces œuvres existent déjà – la demande pour ce produit particulier a été évaluée par les personnes qui produisent le coffret. Si personne ne l'achète, nous aurons tous l'air d'idiots."

"Je crois que l'on devrait pouvoir fixer son propre prix pour le produit que l'on veut vendre, mais au bout du compte, c'est le marché qui dicte le prix et il va falloir tout revoir à la baisse. Les maisons de disques ont gonflé les prix pendant trop longtemps et regardez où elles en sont maintenant. Elles ont créé cette situation en étant un peu trop gourmandes."

On attend maintenant l'application pratique de ces séduisants principes...

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24 juin 2009

Black Francis et l'avenir du disque

Notre héros a bien voulu répondre aux questions du Mag Indie Rock à l'occasion d'une enquête sur 'l'avenir du disque". Retrouvez ses sages paroles dans les trois premiers volets :
Interventions blackiennes mises à part, c'est une lecture intéressante, et je ne dis pas ça seulement parce que j'y ai contribué...

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17 juin 2009

"Ah, au fait, il y avait Joey Santiago a la guitare..."

Exclu ! Notre fidèle ami Joe "Yusuf" Chicago est parvenu à se mêler à la foule très select qui assistait à la soirée de lancement du coffret Minotaur, lundi soir à Londres. À la demande de Blackolero, il nous en fait un récit digne des meilleurs moments du journalisme gonzo. Qu'il en soit ici chaleureusement remercié. Attention, scoop inside !


19 h 30 : Old Street Station, je sens qu'il va pleuvoir. Un quartier de Londres que je ne connais pas. Je trouve la rue en question. The Village Underground, devant un mur tagué une queue de taille modeste indique qu'un événement est sur le point de se passer. Je n'ai aucune invitation, aucun pass ou mot de passe. Un homme en noir surveille la queue. Je suis seul sous la pluie faisant mine d'attendre quelqu'un. Un sentiment d'exclusion m'envahit.

Aux alentours de 20 h, Les Pixies sortent de deux voitures noires. Frank Black passe devant moi mais ne me reconnaît pas. Ma propension à changer d'identité et de look tous les 3 mois n'arrange en rien mes affaires. Je ne suis personne et je n'entrerai pas à la galerie ce soir, les hommes en noir me l'ont bien fait comprendre. Je peux partir, mais j'attends encore.

David Lovering, de l'autre côté d'une barrière (l'espace fumeur), discute avec une jeune fille sans pass. Il la fait entrer. Je roule une cigarette dans l'espoir de me la faire allumer par un autre membre du groupe qui sortirait fumer. Pourquoi pas Kim, il paraît qu'elle est gentille. On m'accoste, je tombe sur un Londonien sympa comme moi qui attend. L'on se dit comme un secret un peu honteux que l'on est fan des Pixies depuis toujours et que c'est bien injuste tout ça... Une compatriote francaise nous rejoint et c'est là que l'alchimie se passe. À 20 h 30, un coup de fil, nous suivons le Londonien, et on nous ouvre les portes tout sourire. Je ne cherche pas à comprendre.

Youpi, je suis dedans. Mission accomplie ! Quelque 250 personnes sont là. Sur les murs, devant une scène cachee par un rideau noir, de grandes bannières où sont imprimés des yeux de veau. Sur le côté, deux rangées d'illustrations. L'esprit Pixies version 2 est sur les murs telle une nouvelle campagne de publicité. Légèrement euphorique, je peine à me concentrer sur ces charmantes et froides illustrations. Je cherche Frank Black du regard. Je le trouve dans la foule, il ne ressemble décidement plus à Black Francis... J'apprends qu'il y aurait eu un sondage auprès des invités afin de sélectionner leurs morceaux préferés pour ce soir. J'aurais dit Manta Ray.

Le bar est open, deuxième bonne surprise. Il y a de la bière et du vin blanc. Je mélange tout cela pour augmenter mon capital d'ivresse. 15 minutes plus tard, le groupe est requisitionné pour passer backstage. Le rideau noir tombe, les clameurs augmentent. Voilà les Pixies. Kim Deal, les cheveux courts et le sourire éternel, entonne les chœurs de cette vieille ballade neurotique, Where Is My Mind. Que l'on ne s'étonne qu'elle soit en première place. La majorité des personnes ici présentes ne sont pas des fans, ce sont des people et des sous-people qui ont kiffé Fight Club.

Frank Black, un rien nonchalent ce soir, sort un bout de papier où figure la setlist et chausse ses lunettes. Hey!, puis No. 13 Baby, Monkey Gone To Heaven, U-Mass, Debaser. Ça passe comme une lettre à la poste, ces vieux tubes entrecoupés de petites anecdotes et échanges chaleureux entre Black et Deal, fidèles à leurs habitudes de nouveau millénaire fleurant bon l'armistice et le compromis dans un esprit tout européen.

On apprend entre autre que le personnage velu sur la pochette de Come On Pilgrim serait Vaughan Oliver lui-même. Passionnant. Et que Kim Deal se fait toujours virer lorsqu'elle joue un morceau des Pixies sur le jeu vidéo Rock Band... Ah, ah, ah, c'est rigolo quand on connaît l'histoire du groupe. Ça rigole jaune et certains regards ne trompent pas cependant. On passe à Tame, et là ça devient sérieux, je hurle et saute dans tout les sens au grand dam des invités mais je m'en fous, j'ai 15 ans (de plus).

La prochaine causerie est sur l'ordre des deux prochaines chansons. C'est Frank Black qui aura le dernier mot. Kim Deal enchaîne ses deux chansons, Gigantic puis Into The White. David Lovering tape FORT.



Je reprends à boire, la foule n'est pas épaisse et c'est un luxe de pouvoir tranquillement en sortir et s'y replonger en marchant sur les jolies pompes cirées des trendy people anglais. Je ne sais pas d'ailleurs qui sont tous ces gens bien décoiffés que je ne cherche même pas à reconnaître. Parmi eux se trouveraient un ex des Libertines, le chanteur de My Bloody Valentine, des membres de Klaxons et autres. Tous se ressemblent et s'effacent alors que Black detune sa guitare. C'est sans aucun doute Planet Of Sound. C'est bon, ça fait sauter. Surprise, le morceau suivant est Dig For Fire. Il faudra 3 tentatives d'intro pour que le groupe se mette d'accord. Le morceau passe très bien et on n'a qu'une envie : All Over The World, mais ce ne sera pas pour cette tournée, je le crains. Enfin, Bone Machine qui fait swinguer le corps.

Encore. Wave Of Mutilation (UK Surf), aborted car Kim ne se souvient pas des notes. "Shall we go for the fast version?" Non, on reprend calmement et c'est fini. Bon petit concert intimiste mais pas si intimidant que ça. Ah, au fait, il y avait Joey Santiago a la guitare...

Le groupe se mêle la foule. Je m'incruste entre Ding Archer et Frank Black, j'entends parler d'un concert a Paris, j'en profite pour intégrer la conversation. Ce sera en octobre au Zenith. Frank Black me remet vaguement. "Mais oui, c'est moi, ton plus grand fan depuis toujours, je t'ai offert plein de cadeaux, tu te souviens ?" Je m'abstiens. Il est sollicité de toutes parts et pris en photo, il se plie patiemment au jeu. Lorsque je lui demande quand le Golem prendra vie, il reste vague. Pas de réponse ce soir, j'ai envie de lui dire de nouveau tout le bien que je pense de lui, mais je crains que cela ne soit inutile. Je m'efface.

Ding, plus réceptif, me fait comprendre qu'il a bien envie de rejouer avec Black... Je l'encourage à l'encourager. J'entame ensuite un débat crucial avec un fan. Le question du soir est de savoir si David Lovering est gay... L'ambiance est sympathique et la bière tout autant, mais le blanc fait mal à la tête. Je m'engage vers Dave, qui chaleureux répond a ma question : Oui, il chantera au sein de The Everybody. Il y aurait 4 chansons déjà enregistrées. Joey, de son côté, affirme qu'il ne chantera pas, comme à son habitude. Je cherche Kim Deal, mais ne parviens pas à la trouver. Dommage.

Les hommes en noir nous font gentiment comprendre que la fête est finie. Je sors et rencontre Bert Genovese de Bobbie Peru, sa copine charmante et Ding Archer de nouveau. On parle rock'n' roll (pour changer) et Paris (rien à voir). Ils m'offrent leur nouvel album et un badge (cool). Nous partons ensemble et ils s'arrêtent au premier pub rencontré L'idée d'une autre bière m'ecœure et j'ai déjà tout oublié des charmantes gens que j'ai rencontrées. J'ai Bailey's Walk dans la tête. Je réalise que je suis bourré... Je me perds dans Londres et ce n'est que très tard que je retrouverai le chemin de la maison.

Conclusion :
Je suis entré au private show comme prévu. Les Pixies étaient un grand groupe et sont à l'heure actuelle le meilleur cover band des Pixies. Les chansons ne vieillissent pas, alors que nous et eux si... En voyant Fank Black sur scène, je ne voulais qu'une chose : Czar, Pong, Whiskey In Your Shoes, Sing For Joy... ou au moins The Navajo Know, Rock Music, Build High. Je me dis que j'ai hâte de retourner à Paris et re-re-reformer mon groupe de rock'n'roll et éditer des coffrets deluxe et jouer dans des caves. Vivement que je trouve Minotaur aux puces pour 100 euros. J'ai fermement l'intention d'arrêter de boire et je crois que ce récit n'a été qu'un point de vue sur une soirée certes inoubliable.

And the whores like a choir, huh, huh!

Yusuf Chicago de Black Français
Photos : David Emery


P.S. Artists in Residence annonce que des vidéos exclusives du show seront bientôt disponible sur le site.

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15 juin 2009

Pixies à l'île de Wight : la setlist

Hier, dimanche 14 juin, les Pixies ont joué au festival de l'île de Wight, juste avant Neil Young. On ne sera donc pas surpris de voir surgir dans le premier tiers du set leur reprise du Loner, Winterlong.

Le concert a duré 80 minutes, raconte le NME, qui précise que c'est Monkey Gone to Heaven qui a reçu l'accueil le plus enthousiaste de la part du public. «En revanche, poursuit l'hebdo, le groupe n'a pas terminé la chanson suivante, In Heaven, Frank Black et Kim Deal s'étant trompés sur les paroles. "Tu étais censé crier !" s'est exclamée Deal, amusée. "Je n'ai pas hurlé depuis 1989" a-t-il répliqué avant que les deux n'éclatent de rire.»

La setlist :

U-Mass
Ed Is Dead
Nimrod's Son
Bone Machine
Dig For Fire
Velouria
Winterlong
Alison
Monkey Gone To Heaven
In Heaven
Here Comes Your Man
Head On
Debaser
Wave Of Mutilation
Gouge Away
Vamos
Hey!
Tame
Caribou
Gigantic
Where Is My Mind?
Into The White

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Message à nos amis les riches

C'est à partir d'aujourd'hui que vous pouvez commander Minotaur. Environ 380 € port compris pour l'édition limitée (ci-contre, et non, ce n'est pas moi qui ai ajouté une bite, c'est vendu comme ça). Les radins et les mal-possédants débourseront un peu plus de 140 € pour l'édition Deluxe.



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13 juin 2009

La jeunesse gothique s'empare des Pixies

Malgré une assez plaisante odeur de décomposition, ce clip amateur réalisé sur "Dead" est tout frais. À conseiller en priorité aux amateurs de films de zombie et de jeunes filles aux penchants morbides.




(Merci à "Anonyme"...)

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Lancement de "Minotaur" : précision

Il semble que la sauterie de lundi à Londres ne soit un événement exclusivement réservé aux invités. Comment se faire inviter ? Je n'en sais fichtre rien. Si vous êtes "ami(e)" des Pixies sur Facebook, tentez par ce biais, il semble que le sujet y ait déjà été abordé. Mais je n'en sais pas plus, je ne suis pas sur Facebook...

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08 juin 2009

When They Come to Murder Him

Le clip est arrivé :



Merci à Alex pour l'info (ça devient une habitude) et le titre !

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06 juin 2009

Vous faites quoi le 15 juin ?

Si jamais vous passez par Londres ce jour-là, 4AD organise une petite fête à l'occasion de la parution de Minotaur. La sauterie aura lieu au Village Underground, un vaste entrepôt victorien converti en lieu culturel, dans le quartier de Shoreditch, à l'est de Londres. Vaughan Oliver, responsable de toutes les pochettes d'album des Pixies et de la direction artistique de Minotaur, y présentera des installations, et le groupe, qui aura joué la veille au festival de l'île de Wight, devrait également être présent.


Source : MusicWeek.com via Carl

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05 juin 2009

Live sur clé USB, le retour

Après le Live at Hotel Utah Saloon (toujours disponible d'ailleurs), Black Francis se prépare à renouveler l'expérience consistant à vendre via son site un enregistrement de concert sur clé USB. C'est cette fois le concert du 28 février 2008 à Nijmegen (Pays-Bas) qui fera l'objet de ce traitement. Une vidéo du "précore" devrait être incluse.

Autres nouvelles affichées sur le site officiel blackfrancis.net : des dates live (Pixies en tournée des festivals d'été - mais pas en France, quelques dates américaines pour Grand Duchy et Black Francis solo), l'enregistrement par Grand Duchy d'une face B pour le futur single Seeing Stars, et l'arrivée prochaine sur le site de la vidéo pour When They Come to Murder Me (ce qui ne nous rajeunit pas).

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